• Dans un genre bien différent, j'aime aussi Maxime Chattam. J'ai tous ses livres même si certains m'ont un peu déçu.

    Je lui ferais deux reproches concernant ses livres consacrés à des histoires criminelles:

    • une certaine complaisance pour la violence, certaines scènes sont décrites avec une telle minutie....
    • parfois le sentiment que la chute de l'histoire n'est pas à la hauteur de l'énigMaxime Chattam, du crime horrible à la vengeance de la Terreme

    Mais Maxime Chattam, c'est aussi un cycle (au départ une trilogie) consacrée à la quête d'enfants survivants d'un cataclysme causé par l'exaspération de la Terre devant le comportement des hommes. Animaux fantastiques, nature déchainée, adaptations particulières des survivants, bref l'histoire est très prenante même si, là encore, les soutiens de l'histoire à la situation inventée semblent parfois un peu trop fantaisistes. L'avant dernier épisode, Oz  m'a déçu, mais j'ai envie de savoir la fin, donc...

     

    Mise à jour du 21 novembre:

    Je viens de lire le tome 5: Neverland.

    J'y ai pris à nouveau beaucoup de plaisir et je me demande de plus en plus comment l'auteur va faire finir cette histoire, tant on a l'impression que les héros (les enfants et jeunes ados) sont de plus en plus circonscrits par le néant. Belle leçon d'espoir, de volonté, de soldarité et de résistance!


    2 commentaires
  • Arturo Perez-Reverte

    Je suis un inconditionnel du Capitaine Alatriste. Mais j'ai un grand reproche à faire à APR. Jusqu'au film qui est consacré à Alatriste, aucun roman n'évoquait sa mort. Dans le dernier épisode (que j'ai d'ailleurs trouvé plus faible que les précédents), APR a clairement confirmé la mort du Capitaine dans les circonstances décrites dans le film, derniers survivants du dernier carré espagnol.....

    Et bien moi, je ne voulais pas qu'il meure le Capitaine!

     

    A part ça, ce détail ;-), j'adore le rendu de l'atmosphère, on voit ces personnages, on les sent presque, on entend le bruit des sabots de chevaux sur les pavés, on sent l'honneur à fleur de peau, même dans la misère, bref APR vous emmène avec ses personnages, même si parfois ils ne sont pas très fréquentables.

    APR a écrit d'autres romans, j'en ai lu la plupart. Bref, un grand!


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